Rechercher sur ce blogue

mardi 25 août 2015

L'URGENCE DE VIVRE

Je pleure pour les gens qui m’entourent !

Cet été, nous étions en vacances dans un camping plein de familles et d’enfants.  Mon cœur saignait à voir  tous ces familles essayant de jouir du plus possible de la vie ; mais sachant très bien que c’est seulement pour un moment.  Malgré leurs vacances... il y avait souvent querelles, tristesse, colère, épuisement, dans leurs vie.  La fleur pousse en sa saison et aussitôt sa beauté disparaît au fur et à mesure que ses pétales tombent.  La vie est très semblable ! 

Lorsque je regarde toutes ses familles, cela me rappelle la mienne v’la pas bien longtemps !  La vie passe trop vite.  Je vois l’urgence d’aviser les gens que cette vie n’est qu’un commencement et qu’il y a une suite.  Ça ne s’arrête pas là !  Un jour nous quitteront ce corps  mortel pour que notre âme aille rejoindre celui avec lequel nous étions amoureux… Dieu ou le monde et ses attraits qui appartient à Satan et ses anges déchus et tout son monde d’esprit malins ?  
Il n’y a que deux choix… ou l’on aime l’un ou on aime l’autre.  Dans quel monde allez-vous transférer après avoir quitté votre corps mortel ?  

J’aimerais tant vous offrir tout l’amour et l’espoir et surtout la liberté que  Jésus nous offre.  Nous refusons souvent quelque chose que nous ne connaissons pas.  Mais si vous connaîtriez MON SAUVEUR, MON AMOUREUX, MON MAÎTRE, celui qui m’a libéré de tous fardeaux, vous voudriez le connaître et vivre avec.  Mettez de côté la mauvaise image d’un Dieu punitif et restrictif !  Ce n’est vraiment pas lui !   Je ne pourrais jamais me passer de mon créateur dans ma vie.  Il a le meilleur mode d’emploi qui existe pour savoir vivre cette vie heureuse et épanouie malgré les épreuves et les souffrances.  Ne vous attachez pas à cette vie… elle passe trop vite.  Je vous partage un texte des Saintes Écritures :

« PSAUMES 90 »
« Seigneur, de génération en génération, c’est toi qui as été notre sécurité.  Avant que soient nées les montagnes, avant même que le monde ait vu le jour, depuis toujours, c’est toi qui es Dieu, et tu le resteras toujours.

Tu fais revenir les humains à la poussière, tu leur dis : « Retournez d’où vous êtes venus. »
Pour toi, mille ans sont aussi brefs que la journée d’hier, déjà passée, ou quelques heures de la nuit.  Tu mets fin à la vie humaine; elle passe comme le sommeil du matin.

Comme l’herbe qui pousse, le matin, elle fleurit, elle grandit ; le soir, elle se fane, elle est sèche…notre vie décline; le temps d’un soupir, elle arrive à sa fin.  Elle peut durer soixante-dix ans, ou quatre-vingts pour les plus vigoureux, mais nous n’en retirons que peine et malheur.  La vie passe vite et nous volons vers la mort… Fais-nous comprendre que nos jours sont comptés.  Alors nous acquerrons un cœur sage…Tourne-toi vers nous, aie pitié de nous, tes serviteurs.

Dès le matin, comble-nous de ta bonté; alors toute notre vie, nous crierons de joie.  Pendant longtemps tu nous as humiliés.  Donne-nous maintenant autant d’années de joie que nous en avons eue de malheur.  Que nous puissions te voir agir, et que nos descendants découvrent ta grandeur !  Seigneur notre Dieu, accorde-nous ton amitié, et donne à nos travaux un résultat durable ; oui, donne à nos travaux un résultat durable.


Aucun commentaire:

Publier un commentaire