Cet été, nous étions en vacances dans un camping plein de
familles et d’enfants. Mon cœur saignait
à voir tous ces familles essayant de
jouir du plus possible de la vie ; mais sachant très bien que c’est seulement
pour un moment. Malgré leurs vacances... il y avait souvent querelles, tristesse, colère, épuisement, dans leurs vie. La fleur pousse en sa
saison et aussitôt sa beauté disparaît au fur et à mesure que ses pétales
tombent. La vie est très semblable !
Lorsque je regarde toutes ses familles, cela me rappelle la
mienne v’la pas bien longtemps ! La vie
passe trop vite. Je vois l’urgence
d’aviser les gens que cette vie n’est qu’un commencement et qu’il y a une
suite. Ça ne s’arrête pas là ! Un jour nous quitteront ce corps mortel pour que notre âme aille rejoindre
celui avec lequel nous étions amoureux… Dieu ou le monde et ses attraits qui
appartient à Satan et ses anges déchus et tout son monde d’esprit malins ?
Il n’y a que deux choix… ou l’on aime l’un ou on aime
l’autre. Dans quel monde allez-vous
transférer après avoir quitté votre corps mortel ?
J’aimerais tant vous offrir tout l’amour et
l’espoir et surtout la liberté que Jésus
nous offre. Nous refusons souvent
quelque chose que nous ne connaissons pas.
Mais si vous connaîtriez MON SAUVEUR, MON AMOUREUX, MON MAÎTRE, celui
qui m’a libéré de tous fardeaux, vous voudriez le connaître et vivre avec. Mettez de côté la mauvaise image d’un Dieu
punitif et restrictif ! Ce n’est
vraiment pas lui ! Je ne pourrais
jamais me passer de mon créateur dans ma vie.
Il a le meilleur mode d’emploi qui existe pour savoir vivre cette vie
heureuse et épanouie malgré les épreuves et les souffrances. Ne vous attachez pas à cette vie… elle passe
trop vite. Je vous partage un texte des
Saintes Écritures :
« PSAUMES 90 »
« Seigneur, de génération en génération, c’est toi qui as été
notre sécurité. Avant que soient nées
les montagnes, avant même que le monde ait vu le jour, depuis toujours, c’est
toi qui es Dieu, et tu le resteras toujours.
Tu fais revenir les humains à la poussière, tu leur dis :
« Retournez d’où vous êtes venus. »
Pour toi, mille ans sont aussi brefs que la journée d’hier, déjà
passée, ou quelques heures de la nuit.
Tu mets fin à la vie humaine; elle passe comme le sommeil du matin.
Comme l’herbe qui pousse, le matin, elle fleurit, elle grandit ; le soir,
elle se fane, elle est sèche…notre vie décline; le temps d’un soupir, elle
arrive à sa fin. Elle peut durer
soixante-dix ans, ou quatre-vingts pour les plus vigoureux, mais nous n’en
retirons que peine et malheur. La vie passe
vite et nous volons vers la mort… Fais-nous comprendre que nos jours sont comptés. Alors nous acquerrons un cœur sage…Tourne-toi
vers nous, aie pitié de nous, tes serviteurs.
Dès le matin, comble-nous de ta bonté; alors toute notre vie, nous
crierons de joie. Pendant longtemps tu
nous as humiliés. Donne-nous maintenant
autant d’années de joie que nous en avons eue de malheur. Que nous puissions te voir agir, et que nos
descendants découvrent ta grandeur !
Seigneur notre Dieu, accorde-nous ton amitié, et donne à nos travaux un
résultat durable ; oui, donne à nos travaux un résultat durable.
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